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| Institut de géographie et durabilité (IGD) | Institut des dynamiques de la surface terrestre (IDYST) | Institut des sciences de la Terre (ISTE)
 

Institut de géographie et durabilité (IGD)

Avec environ 130 membres, l’Institut de géographie et durabilité (IGD) développe des recherches fondamentales et appliquées, forme à la recherche et intervient dans le débat public autour d’enjeux contemporains majeurs de la durabilité.

L’IGD s’appuie sur son expertise de différents milieux (villes, marges, montagne, etc.) et aborde les processus de transformation sociétale, territoriale et environnementale en intégrant des compétences en géographie et en sciences humaines et sociales.

Par ailleurs, l’institut offre des compétences dans certains domaines méthodologiques, en particulier la cartographie, les méthodes quantitatives et les méthodes qualitatives dans les domaines de la géographie et des sciences sociales.

Chaque chercheur·euse de l’IGD participe à un ou plusieurs collectifs et peut intégrer une ou des initiatives émergentes de recherche qui se distinguent en : cinq collectifs thématiques, cinq collectifs transversaux et des initiatives émergentes de recherche.

L'IGD développe ses activités dans deux lieux : le site de Lausanne (bâtiment Géopolis) et le site de Sion-Bramois. À Sion sont particulièrement abordées les thématiques liées aux études sur le tourisme et sur la montagne (en lien avec le CIRM).

Institut des dynamiques de la surface terrestre (IDYST)

Nous vivons une période sans précédent dans l’histoire de la Terre. Notre société fait face à des défis environnementaux majeurs avec le changement climatique, la biodiversité et la dégradation des écosystèmes tant en ce qui concerne les sols que l’eau. L'IDYST s’attache à étudier les processus fondamentaux qui sous-tendent ces enjeux fondamentaux. Deux questions centrales guident nos recherches :

  1. Quel est l’impact du climat sur l’évolution du paysage, sur la cryosphère et sur les écosystèmes (sols et eau) ?
  2. Comment l’homme impacte-t-il l’environnement naturel à travers la mobilisation et l’utilisation polluantes des ressources et des territoires (terrains, sols) ?

Les principaux atouts de l’IDYST sont dans sa capacité à étudier des processus dans une approche très multidisciplinaire, avec le souci constant d’améliorer la compréhension des mécanismes à l’œuvre dans les processus environnementaux, en mobilisant dans ses recherches aussi bien les moyens fondamentaux de la physique, de la chimie et de l’écologie que des méthodes plus innovantes.

Mots-clés : cycles élémentaires, climats (passé, présent, future), minéraux, écosystèmes, sols, glace, végétation, utilisation des sols, processus, réactivité, isotopes, géochimie, géocomputing, géostatistiques, télédétection, géochronologie.

L’Institut compte actuellement 11 professeurs, cinq maîtres assistants et maîtres d’enseignement et de recherche et une quinzaine d’assistants et de collaborateurs de recherche. Les principaux sujets de recherche se retrouvent dans un certain nombre de groupes de recherches avec des appellations distinctes (LAKES, ALPWISE, ICE, ISOLAB, LGE, GAIA, BIOGEOSCIENCES, SPATIAL ECOLOGY, SE), mais les groupes de recherche se caractérisent aussi par de fortes collaborations croisées dans l’ensemble de ces différents groupes thématiques.

Institut des sciences de la Terre (ISTE)

Les recherches menées au sein de l’institut des sciences de la Terre (ISTE) ont pour objectif d’améliorer la compréhension des processus physiques, chimiques et biologiques qui ont façonné l’évolution de notre planète au court du temps.

Notre institut dispose d’équipements analytiques de premier plan lui permettant de viser l’excellence tant dans la recherche scientifique que la formation.

Les centres d’intérêts principaux comprennent la géodynamique des chaînes de montagnes et les processus physiques sous-jacents, la géochimie du manteau et de la croûte terrestre, l’évolution de la vie, des océans et du paléoclimat à travers l’étude des roches sédimentaires, le monitoring et la modélisation des processus géophysiques de surface, ainsi que des risques géologiques associés au changement climatique et à l’érosion.

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