Légalisation et traductions

Généralités

Tout d'abord, il est préférable de contacter la ou le destinataire de la traduction légalisée (université dans laquelle vous souhaitez vous inscrire, etc.) pour savoir quel type de légalisation sera reconnu. Certaines institutions souhaitent que la traduction soit reconnue par l'ambassade du pays ayant délivré le diplôme.

Dans le Canton de Vaud, il n'y a pas de légalisation des traductions à proprement parler, mais une légalisation des signatures: la préfecture valide la signature de la ou du notaire qui valide la signature de la traductrice ou du traducteur. En général les universités étrangères se contentent de ce tampon officiel.

D'autres cantons, comme par exemple Genève et Neuchâtel, ont un système de traductrices et traducteurs-juré·e·s. Il s'agit de traducteurs·trices assermenté·e·s qui obtiennent lors de leur assermentation le tampon permettant de légaliser les traductions.

Il est tout à fait possible de faire légaliser un document vaudois dans un autre canton.

Légalisation par le Canton de Vaud

La marche à suivre est comme suit:

  1. faire traduire le texte par une traductice ou un traducteur vaudois en lui demandant de confirmer qu'elle ou il a déposé sa signature auprès d'un·e notaire;
  2. faire authentifier la signature de la traductrice ou du traducteur chez un·e notaire. Souvent les traductrices et traducteurs professionnels ont un·e notaire attitré. Le prix est de 20.- à 50.- par document. Le site de l'Association des notaires vaudois propose une liste de notaires.
  3. faire légaliser l'authentification du ou de la notaire par le Bureau des légalisations de la Préfecture de Lausanne (prix entre 15.- et 25.- par document)

Légalisation dans d'autres cantons

Les Cantons de Genève et Neuchâtel ont un système de traducteurs et traductrices et traducteurs-jurés.

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