Escola Marc
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Pierre Corneille, Le Menteur (1644) Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
Osez (re)lire Molière Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
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Le Cinéma des Lumières. Diderot, Deleuze, Eisenstein Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
Débattre d’une fiction Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
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Pierre Corneille, Trois discours sur le poème dramatique Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
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Le Misanthrope corrigé. Critique et création Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
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Critique et création Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
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Avec Denis Guénoun. Hypothèses sur la politique, le théâtre, l’Europe, la philosophie Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
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Nouvelles recherches sur le théâtre classique Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
Pierre Corneille, La Place royale Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
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Jean Racine, Iphigénie Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
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Pierre Corneille, Horace Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
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La classe de composition. Autour de « Composition » de Michel Charles Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
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Les fins intermédiaires dans les fictions narratives des XVIIe et XVIIIe siècles Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
Penser par notions Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
Pascal, Pensées Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
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Littérature seconde ou la Bibliothèque de Circé |
Les Formes brèves De l'aphorisme au haïku, de la maxime au slogan, du lai à la microfiction, innombrables sont les genres et les registres de l'écrit bref. Mais dans tous les cas celui-ci installe un régime singulier de lecture, qui le distingue des autres formes. Retrouvez l'ouvrage sur le site de l'éditeur. |
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La Bibliothèque des textes fantômes Ces livres qu’on ne peut pas ouvrir, ou qui s’ouvrent seulement dans d’autres livres, il reste loisible d’en décrire les contours, de dire les effets de leur absence ou la façon dont ils hantent les œuvres réelles, de faire récit de leur recherche passionnée, d’en réunir parfois quelques fragments… Ce qu’on ne peut pas lire, il est toujours possible d’en dire ou d’en écrire quelque chose — de faire naître un texte bien réel du seul désir de lire ce qui se dérobe à nous comme simple lecteur. Retrouvez l'ouvrage sur le site de l'éditeur. |
Théorie des textes possibles La critique littéraire est-elle vouée par nature et fonction à rester un « discours second » entièrement subordonné à un texte premier qui peut seul prétendre à la dignité d’un discours créateur ? L’interprète peut-il se départir de toute déférence à l’égard des décisions de l’auteur pour les regarder comme des choix parmi d’autres, de fragiles options ou des arrêts toujours révisables? Retrouvez l'ouvrage sur le site de l'éditeur. |
Pascal, Pensées sur la justice, suivies de Trois Discours sur la condition des Grands Retrouvez l'ouvrage sur Labelettres |
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La Partie et le Tout. La composition du roman, de l’âge baroque au tournant des Lumières Consacré aux relations que les parties d'un roman entretiennent avec son tout à l'âge classique (XVIIe-XVIIIe siècles), le présent volume vient réunir les actes d'un colloque international qui s'est d'abord déroulé « par parties séparées », en trois « livraisons » successives, à l'automne 2008, et qui a réuni une soixantaine de spécialistes de l'âge classique, venus du Royaume-Uni, des États-Unis, du Canada, de la Suisse, de Belgique, d'Italie et de France. Retrouvez l'ouvrage sur le site de l'éditeur. |
Marivaux, Journaux, tome I : Le Spectateur français, Lettres sur les habitants de Paris, Lettres contenant une aventure |
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Marivaux, Journaux, tome II : Le Cabinet du philosophe, L’Indigent philosophe, Pensées et Réflexions |
Pascal, Trois Discours sur la condition des Grands, suivis de Pensées sur la politique |
Microlectures, « Close readings » : complications de texte. Comme le petit pan de mur jaune du tableau de Vermeer pour Bergotte ou le chat de l’abbé Seguin pour le Roland Barthes de la Préface à la Vie de Rancé, la page isolée constitue, pour le lecteur soucieux du détail, « toute la littérature ». Retrouvez l'ouvrage sur le site de l'éditeur. |
La Case blanche. Théorie littéraire et textes possibles, Actes du colloque d'Oléron organisé par le groupe de recherches Fabula (14-18 avril 2003) « C'est aussi un inédit, un inécrit dont la poétique, entre autres, par la généralité de son enquête, découvre et désigne la virtualité, et qu'elle nous invite à réaliser. Qui est ce "nous" ? l'invitation s'adresse-t-elle seulement au lecteur, ou le poéticien doit-il lui-même passer à l'acte, je n'en sais trop rien, ou si l'invite doit rester invite, désir insatisfait, suggestion sans effet — mais non toujours sans influence : ce qui est sûr, c'est que la poétique en général, et la narratologie en particulier, ne doit pas se confiner à rendre compte des formes et des thèmes existants. Elle doit aussi explorer le champ des possibles, voire des "impossibles", sans trop s'arrêter à cette frontière, qu'il ne lui revient pas de tracer. Les critiques n'ont fait jusqu'ici qu'interpréter la littérature, il s'agit maintenant de la transformer. Ce n'est certes pas l'affaire des seuls poéticiens, leur part sans doute y est infime, mais que vaudrait la théorie, si elle ne servait pas aussi à inventer la pratique. » (G. Genette). Retrouvez l'ouvrage sur le site de l'éditeur. |
Commentaires des Contes de Perrault, Paris |
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Les Lectures à clés (XVI-XVIIIe siècles) : livraison de la revue Littératures classiques n° 54 (2005) Régulièrement attestée de l’âge baroque au seuil des Lumières, la pratique des clés telle constitue un mode de lecture majeur, ancré dans des usages intellectuels et sociaux du livre diversifiés, et l’une des modalités essentielles de la perception sinon de la circulation des textes dont les ressorts, les enjeux et les modalités ne nous sont peut-être plus directement visibles. Retrouvez l'ouvrage sur le site de l'éditeur. |
Nouvelles historiques & galantes du XVIIe siècle (Mme de La Fayette, Saint-Réal, Catherine Bernard, Du Plaisir)
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Lupus in fabula. Six façons d’affabuler les Fables de La Fontaine Soutenu par une discrète érudition, cet essai voudrait offrir une approche résolument ludique des Fables de La Fontaine : l'auteur n'y propose pas une nouvelle interprétation mais l'élaboration d'un mode de lecture, librement inspiré des jeux sérieux de l'Oulipo comme des théories sur la réécriture, qui suppose au sein d'une fable la production imaginaire de fables possibles. L'exercice est moins irrévérencieux qu'il n'y paraît : la loi même du genre veut qu'il y ait toujours dans une fable de quoi en faire une autre ; chaque fable étant elle-même le produit d'une réécriture, on voit mal qu'elle puisse interdire au lecteur de se livrer à son tour à un exercice de transformation. "Affabuler" les fables, c'est donc à la fois réfléchir sur les choix de La Fontaine entre plusieurs versions possibles de ses textes sources, et esquisser en retour quelques apologues nouveaux ; c'est aussi et surtout se rendre sensible à la "fabrique" même du dispositif fabulaire. En nous donnant à rêver, ou à écrire, les fables fantômes qui hantent les fables réelles, l'auteur découvre à nos yeux un La Fontaine finalement inédit - tout à la fois plus "gaillard" et plus politique que celui consacré par la tradition scolaire. Retrouvez l'ouvrage sur le site de l'éditeur. |
Le Tragique |
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Le Malentendu. Généalogie du geste herméneutique, Actes du colloque de Paris-Sorbonne & Paris-VIII (Saint-Denis), 7 & 8 février 2002. Voltaire, entend-on dire, n'a rien compris à Pascal, Sartre s'est mépris sur Baudelaire, Lénine a mal lu Marx, et Poussin a méconnu Caravage. Dénonçant un malentendu, chacun a pu prétendre redresser la méprise, s'exposant par là même à être corrigé. Pas de lecture sans malentendu, ni d'interprétation sans dissipation de malentendu. Si, selon une opinion courante, la réception d'une œuvre singulière se confond bien souvent avec la suite des malentendus auxquels elle a donné lieu, c'est peut-être que toute entreprise herméneutique suppose ce "geste" originel qui autorise l'interprète à se camper, à son tour, en exégète recommandable. Retrouvez l'ouvrage sur le site de l'éditeur. |
La Bruyère, tome I : Brèves questions d’herméneutique Les dix essais ici réunis visent à informer puis à mettre à l'épreuve une poétique du caractère. De Théophraste à La Bruyère, la pratique de l'éthopée connaît un infléchissement décisif : en renonçant aux définitions pour attendre de la seule description la révélation dynamique d'une logique du comportement, La Bruyère amène son lecteur à parcourir un trajet proprement herméneutique. C'est peut-être cette irréductibilité de la description éthique à toute définition qui fonde la possibilité d'instituer le caractère en genre littéraire et la représentation des mœurs en discours moral. La Bruyère est ainsi le premier à reconnaître que l'on ne peut atteindre la vérité des comportements que comme représentation: les "caractères" ne sont désormais visibles que s'ils sont reconstitués mimétiquement en caractères. L'ouvrage lui-même viserait dès lors moins à dire les "mœurs du siècle" qu'à formuler les grandes lois de l'interprétation des comportements - et c'est en quoi il nous demeure aujourd'hui encore lisible ; le caractère se donne comme leçon ou comme brève question d'herméneutique, parce que chaque "caractère" est à interpréter en retour comme un texte : le texte du comportement. Retrouvez l'ouvrage sur le site de l'éditeur. |
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La Bruyère, tome II : Rhétorique du discontinu Rhétorique de La Bruyère: ce deuxième essai sur Les Caractères fait l'hypothèse que les énoncés d'un texte discontinu requièrent une interprétation qui se fonde sur leur discontinuité même. Le "mouvement" de l'œuvre, dans ses neuf éditions successives, invite à considérer les additions comme une caractéristique de la composition, et permet d'appréhender à partir d'elles les différents niveaux où se décide la cohérence textuelle: l'alinéa, la remarque, la série, le chapitre. Une méthode de lecture peut être ainsi élaborée qui autorise en retour une définition du discours discontinu. Retrouvez l'ouvrage sur le site de l'éditeur. |
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Corneille, La Place Royale |
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Corneille, Horace |
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La Rochefoucauld, Maximes, Mémoires, Réflexions |
Morales et politique, Actes du quatrième colloque international organisé par le Groupe d’Études des Moralistes du Centre d’Études sur la Littérature et la Langue des XVIIe et XVIIIe siècles, en Sorbonne, 16-18 nov. 2000. Voici une enquête sur les rapports de la politique et de la morale aux XVIIe et XVIIIe siècles, en fait de Platon à la Révolution, puisqu'il est impossible de se priver des penseurs et des modèles antiques. De Machiavel à B. Constant on médite les exemples illustres, on raisonne sur l'histoire contemporaine. Les formes prises par la réflexion divergent, les idéaux aussi, mais un même et triple objet s'impose : définir l'exercice du pouvoir en considération de la justice due à la collectivité, de la dignité morale due à la personne du citoyen, de la mise en concordance des deux impératifs précédents. L'esprit critique et la raison législatrice désignent critères, obligations et contraintes. De Retz à Rousseau, de La Fontaine à Sade, Nicole, La Motte, Montesquieu, Voltaire, bien d'autres nourrissent un mouvement de pensée qui, par delà la Révolution, se perpétue dans la philosophie politique de ce troisième millénaire commençant. Retrouvez l'ouvrage sur le site de l'éditeur. |
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Corneille, Trois Discours sur le poème dramatique |
La Bruyère, Les Caractères de La Bruyère En 1688 paraissait la première édition d'un ouvrage anonyme qui se donnait comme une traduction et une continuation de Théophraste; La Bruyère ne faisait pas mystère d'en être l'auteur, mais il était alors un inconnu. L'imprimeur Michallet dut réimprimer l'ouvrage trois fois dans cette même année 1688 pour satisfaire le public. En février 1689, il donna une quatrième édition "corrigée et augmentée": c'était beaucoup plus que cela: c'était un nouvel ouvrage, à la fois considérablement enrichit et entièrement recomposé. De 1688 à 1696, neuf éditions se succèdent ainsi qui font du mince ouvrage une manière de somme encyclopédique, une œuvre à la fois ouverte et en mouvement. De 1688 à sa mort, la vie de La Bruyère se confond avec le devenir d'une œuvre. On ne lira pas pour autant dans les Caractères le roman d'une vie, mais bien, si l'on se rend attentif au jeu des neuf éditions successives, dont les pages de titre ne s'ornent jamais du nom de La Bruyère, la généalogie d'une figure d'auteur. Il manquait aux amateurs de La Bruyère une édition qui rende compte de la genèse de l'ouvrage, qui permette de se rendre attentif au jeu des additions comme aux déplacements de remarques, à la constitution de séries comme au patient travail de recomposition des chapitres. La présente édition signale en outre les variantes locales et propose des tables de concordance des différentes éditions. Elle donne enfin, à travers un dossier de documents et un recueil des clés, les indispensables informations sur la poétique du caractère et la première réception de l'ouvrage. Retrouvez l'ouvrage sur le site de l'éditeur. |
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Morale et fiction aux XVIIe et XVIIIe siècles : Revue des Sciences Humaines 254 (1999-2) |
Racine, Iphigénie |
Racine, Bérénice |
La Bruyère. Le Métier du moraliste, Actes du Colloque du Tricentenaire (1996) L'année 1696 vit à la fois la mort de l'auteur des Caractères et la parution de la neuvième et dernière édition de son œuvre. Trois siècles de débats critiques nous séparent désormais de l'entreprise littéraire et morale de celui qui, pour la première fois dans le champ littéraire français, revendiqua l'écriture comme un métier: C'est un métier de faire un livre comme de faire une pendule… Retrouvez l'ouvrage sur le site de l'éditeur. |
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La Bruyère. Bibliographie analytique et critique des études sur La Bruyère |