Lenzo Giuseppina
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La tombe memphite du prince héritier Chéchonq et son mobilier funéraire Retrouvez la publication dans Labelettres |
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Les cultes aux rois et aux héros à l’époque hellénistique : continuités et changements Retrouvez la publication dans Labelettres |
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Bielman Sánchez A., Lenzo G., 2015. Inventer le pouvoir féminin : Cléopâtre I et Cléopâtre II, reines d'Egypte au IIe s. av. J.-C., ECHO 12, Peter Lang, Berne, 2015.Cet ouvrage traite de deux figures royales majeures dans l’histoire du pouvoir en Egypte ptolémaïque : Cléopâtre I qui inaugura le système du règne conjoint avec un partenaire masculin et Cléopâtre II qui participa à six règnes conjoints et fut la première femme à occuper seule le trône d’Egypte, à Alexandrie. L’ensemble des sources disponibles (inscriptions, ostraca et papyrus grecs ou égyptiens, reliefs de temples et statues, monnaies, sources littéraires grecques et romaines) est examiné en respectant la progression chronologique, de 194 à 115 av. J.-C. L’originalité de cette étude réside dans la confrontation systématique des documents d’origines culturelles et linguistiques différentes ; elle cherche ainsi à cerner au mieux la manière dont ces figures royales se présentaient à leurs sujets gréco-macédoniens et indigènes, comment ceux-ci les percevaient et quel fut leur impact sur la scène internationale. Ces reines marquent une étape dans la conception du pouvoir royal féminin, qui influencera celles qui leur succèderont, jusqu’à la célèbre Cléopâtre VII. |
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Giuseppina Lenzo, Les stèles de Taharqa à Kawa, Paléographie hiéroglyphique 7, Institut français d'archéologie orientale, le Caire, 2015.Les signes hiéroglyphiques gravés sur plusieurs stèles du roi koushite Taharqa de la XXVe dynastie font l’objet d’une étude détaillée dans ce volume de la collection Paléographie hiéroglyphique. Parmi ces stèles, cinq proviennent du site de Kawa au Soudan. Le texte de la stèle de Kawa V sur la crue du Nil de l’An VI a également été copié sur trois autres stèles retrouvées à divers endroits du territoire égyptien, ce qui a permis de sélectionner des signes gravés aussi bien dans le Delta (Tanis), en Haute-Égypte (Coptos et Matâanah), qu’au Soudan (Kawa). Au final, ce sont huit stèles datées sur une période de neuf ans (689-681 av. J.-C.) qui ont fourni les 439 signes commentés dans ce volume et dont les fac-similés occupent 118 planches. Les signes ont été principalement comparés avec ceux des monuments et stèles de l’époque napatéenne, mais également avec ceux des époques antérieures et postérieures lorsque cela semblait pertinent. |
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Giuseppina Lenzo, Manuscrits hiératiques du Livre des Morts de la Troisième Période intermédiaire (Papyrus de Turin CGT 53001-53013), Catalogo del Museo Egizio di Torino, Serie seconda, Collezioni, Volume XI, CSEG 8, Genève, 2007.Le Livre des Morts est l'un des textes les plus notoires de la littérature funéraire égyptienne. Il contenait divers chapitres ou formules qui permettaient au défunt d'affronter les dangers de l'au-delà. Ces formules sont essentiellement connues à travers les papyrus du Nouvel Empire (recension "thébaine") et ceux de la Basse Époque ou l'époque gréco-romaine (recension "saïte"). Mais les documents entre ces deux recensions, soit à la Troisième Période intermédiaire, ont souvent été négligés par les égyptologues.
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