Gianettoni Lavinia
Coordonnées | Curriculum | Recherches | Enseignements | Publications |
Formations
Doctorat en Psychologie Sociale, 2007, Université de Lausanne
DEA en Psychologie Sociale, octobre 2000, Université de Genève
Licence en Psychologie, octobre 1999, Université de Genève
Expériences professionnelles
Maître d'Enseignement et de Recherche, LINES, Université de Lausanne
Début : 2012
Maître assistante, MISC, ISS, Université de Lausanne
Début : 2008 -- Fin : 2012
Chercheuse postdoc (bourse FNS), Université d'Aix en Provence
Début : 2008 -- Fin : 2008
Assistante en Psychologie sociale et en Etudes Genre, Université de Lausanne
Début : 2003 -- Fin : 2007
Assistante de recherche FNS, Université de Genève
Début : 2000 -- Fin : 2003
Assistante de recherche pour le projet "People en war" en collaboration avec le CICR, Université de Genève
Début : 2002 -- Fin : 2002
Monitrice pour les travaux pratiques en psycholgie sociale, Université de Genève
Début : 1999 -- Fin : 2000
Compétences
Analyses de données quantitatives
spss, amos, hlm
Analyses de données textuelles
spad-t, nud.ist
Membres associés
Nom | Fonction(s) |
Aeby Gaëlle | Chargée de cours, UNIFR / collaboratrice de recherche, UNIGE |
Alves Barbeiro Ana | Assistante diplômée |
Benz Pierre | Docteur en sociologie |
Bolano Danilo | Senior researcher, NCCR LIVES |
Cavalli Stefano | Maître assistant, Centre Interfacultaire de Gérontologie, UNIGE |
Clémence Alain | Professeur honoraire |
Dasoki Nora | Chargée de recherche, FORS |
Falcon Julie | Collaboratrice scientifique externe |
Fasel Hunziker Rachel |
Coordinatrice de recherche, LIVES |
Fassa Recrosio Farinaz | Professeure ordinaire |
Giudici Francesco | Dr. soc., responsable de service, USTAT |
Hanappi Doris | Chercheuse Senior SNF |
Hummel Cornelia | Maître d'enseignement et de recherche, Département de sociologie, UNIGE |
Korber Maïlys | Collaboratrice scientifique externe |
Kradolfer Morales Sabine | Chargée de cours |
Labouvie-Vief Gisela | Professeure, Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation, UNIGE |
Lefeuvre Nicky | Professeure, Faculté des sciences sociales et politiques |
Leko Minja | Doctorante |
Leresche Jean-Philippe | Directeur, Observatoire, Science, Politique, Société |
Levy René | Professeur honoraire |
Luisier Victorin | Chercheur FNS junior |
Lutz Georg | Directeur, FORS |
Maggiori Christian | Chercheur FNS senior 1ère année |
Marquis Lionel | Maître d'enseignement et de recherche, Institut d'études politiques et internationales |
Mc Kenzie Tsering | Doctorante FNS |
Oris Michel | Professeur ordinaire, Département d'histoire économique, UNIGE |
Passy Florence | Professeure associée, Institut d'études politiques et internationales |
Rauschenbach Mina |
Post-doctoral researcher, Leuven institute for criminology (LINC) |
Roch Pierre-Alain | Public Policy Evaluator, Cour des comptes de Genève |
Roux Patricia | Professeure associée |
Ryser Valérie-Anne | Cheffe de projet de recherche, FORS |
Staerklé Christian | Professeur associée |
Turner-Zwinkels Felicity | Chercheure FNS senior |
Vacchiano Mattia | Post-doc Researcher, NCCR LIVES |
Valarino Isabel | Chargée de missions, Bureau de l'égalité |
Vandenplas Caroline | Post-Doctorante, KU Leuven, Belgique |
Wernli Boris | Chef de section de recherche, FORS |
Widmer Eric | Professeur ordinaire, Département de sociologie, UNIGE |
Secrétariat
Nom | Adresse |
Chappuis Anne-Sophie (en congé maternité) | Bâtiment Géopolis, bureau 5105 |
Randewijk Vanessa |
Bâtiment Géopolis, bureau 5105 |
Enseignant·e·s

André Berchtold
André Berchtold est professeur associé de statistique à l’Institut des Sciences Sociales de l’Université de Lausanne. Il donne différents cours de méthodes quantitatives et de statistique, ainsi qu’un séminaire consacré aux consommations de substances, dans les programmes de bachelor et de master en sciences sociales. Il est titulaire d’un doctorat en sciences sociales et économiques, mention économétrie et statistique, de l’Université de Genève. Il est aussi membre du Pôle de Recherche National LIVES : Surmonter la vulnérabilité, perspective du parcours de vie.
Intérêts de recherche André Berchtold est un expert en statistique appliquée aux sciences sociales et il développe de nouvelles méthodes pour le traitement des données manquantes et pour la modélisation de données longitudinales au moyen de modèles markoviens. Il s’intéresse également à la collecte de données au moyen de calendriers de vie. Au-delà des développements théoriques, il a aussi publié de nombreux articles dans le domaine de la santé concernant plus particulièrement la santé des adolescents et la consommation de substances.

Laura Bernardi
Laura Bernardi est professeur titulaire de sociologie et de démographie du parcours de vie au Centre de recherche sur les parcours de vie et les inégalités (LINES) de l'Université de Lausanne. Elle est membre du Conseil national de la recherche du FNS et de l'Académie suisse des sciences humaines et sociales. Elle est également co-éditrice en chef de la revue Advances in Life Course Research (https://www.journals.elsevier.com/advances-in-life-course-research) et présidente du Conseil scientifique de l'Institut national d’études démographiques (INED). Elle enseigne sur la migration, les politiques familiales et sociales et la théorie du parcours de vie. Avant d'arriver à Lausanne, elle a travaillé au Max Planck Institute for Demographic Research, à l'Université Brown et à l'Université de Rome.
Laura Bernardi a beaucoup travaillé sur la fertilité et la diversité familiale dans une perspective de parcours de vie. Elle a dirigé et participé à plusieurs projets sur la fécondité et la famille, à l'échelle nationale et internationale, en étudiant les choix en matière de reproduction, les relations intergénérationnelles, les normes familiales, les structures familiales et leurs conséquences sur le bien-être et la vulnérabilité.

Felix Bühlmann
Felix Bühlmann a fait des études en sociologie et en sciences politiques à l’Université de Genève, à la Humboldt Universität Berlin et à l’Université de Lausanne. Après son doctorat à l’Université de Lausanne en 2008, il était post-doctoral fellow à l’Université de Manchester et dirigeait le Rapport social suisse à FORS. Il a été nommé professeur assistant (2011) et professeur associé (2017) à la Faculté des Sciences sociales et politiques de l’Université de Lausanne.
Felix Bühlmann s’intéresse particulièrement à la sociologie des parcours de vie et à la sociologie économique. Ses recherches portent sur les carrières professionnelles, les carrières de vulnérabilité les élites suisses et internationales. Il a notamment publié dans le British Journal of Sociology, European Sociological Review, Sociology et Economy and Society.
Page personnelle

Guy Elcheroth
Guy Elcheroth est professeur titulaire et maître d’enseignement et de recherche à LINES. Il a été membre du centre depuis sa création en 2012 et a participé à sa direction entre 2015 et 2018. Titulaire d’un doctorat de l’UNIL, il a enseigné à l’Université Libre de Bruxelles (ULB) et effectué des recherches post-doctorales à l’Université de St Andrews, en Grande-Bretagne, avant d’être ré-engagé à l’UNIL en 2008, comme maître-assistant dans le domaine de la psychologie sociale des conflits et du changement social. Dans ses recherches il s’intéresse aux liens entre chocs collectifs et résiliences collectives, au rôle des mémoires dans les processus de transformation des conflits et au sort des voix critiques dans des contextes de nationalisme exacerbé. Ses travaux accordent une place particulière aux appartenances multiples, aux processus intergroupes complexes et aux perspectives diverses sur les normes sociales. Il collabore par ailleurs avec la Fondation suisse pour la recherche en sciences sociales (FORS) sur des sujets liés à l’exclusion statistique, à l’invisibilisation des inégalités sociales et aux approches méthodologiques novatrices pour y remédier. Depuis 2014, dans le cadre du programme r4d du FNS, il a mené un consortium international sur le rôle des mémoires collectives dans les conflits armés : le Projet Mémoires Plurielles. Membre de plusieurs comités éditoriaux, il a été éditeur associé du Journal of Social and Political Psychology entre 2014 et 2019. Il est actuellement membre de la Commission d’éthique de la recherche de l’UNIL et directeur académique de la Lausanne Summer School on Transitional Justice and Conflict Transformation.

Jacques-Antoine Gauthier
Jacques-Antoine Gauthier est sociologue et maître d’enseignement et de recherche à l’université de Lausanne. Il enseigne l’introduction à la recherche en sciences sociale au niveau bachelor et une approche quantitative de la perspective du parcours de vie au niveau master. Avant son engagement à l’Unil, il a travaillé comme collaborateur scientifique successivement à l’Office fédéral de la statistique, à l’École polytechnique fédérale de Lausanne et à Addiction suisse. Il a été Honorary Fellow de l’Université d’Édimbourg de 2017 à 2018.
Intérêts de recherche Ses recherches portent sur la logique de construction des trajectoires de vie des femmes et des hommes notamment lors du passage de l’école à l’emploi, de la transition à la parentalité ou à la retraite. Il s’interroge en particulier sur la manière dont les institutions sociales, comme l’école, la famille ou le marché du travail anticipent et reproduisent les systèmes de rôles et de valeurs à la base d’un certain type de rapports sociaux de sexe. Son travail s’inscrit dans la perspective du parcours de vie qui montre que les parcours individuels sont multidimensionnels, fortement interdépendants et sensibles à la temporalité des événements, ainsi qu’au contexte dans lesquels ils s’inscrivent.

Lavinia Gianettoni est psychologue sociale. Ses recherches portent sur les inégalités de genre et leur imbrication avec d’autres rapports sociaux hiérarchiques (de classe, sexualité, nationalité, religion, etc.). Dans le cadre de ses recherches récentes elle a plus précisément analysé la manière dont le système de genre, institutionnel et idéologique, influence les aspirations professionnelles des jeunes en fin de scolarité. Actuellement elle dirige une recherche longitudinale visant à évaluer comment le vécu de discriminations sexistes ou homophobes impacte les trajectoires de formation professionnelle et les risques de rupture ou décrochage qui peuvent en découler.
Page personnelle

Michael Grätz
Michael Grätz rejoint l’institut de sciences sociales d’UNIL comme maître assistant Ambizione FNS en septembre 2019. Il est aussi chercheur à l´Institut suédois de la recherche sociale (SOFI) à l’Université de Stockholm.
Michael Grätz a obtenu son doctorat à l’Institut Universitaire Européen (EUI) à Florence en 2015. Ensuite il a travaillé à Nuffield College, Université d´Oxford, à l´Université de Bielefeld et à l´Université de Stockholm. Sa recherche a été publiée dans des revues internationales comme Demography, European Sociological Review et Sociological Science.
Michael Grätz est un sociologue qui travaille sur le processus de transmission des inégalités sociales à travers les générations. À l’UNIL, il va se concentrer sur son projet Ambizone, financé pour quatre ans par le FNS. Ce projet traite des effets des comportements démographiques sur les transmissions des inégalités sociales à travers les générations.
Page personnelle

René Knüsel
René Knüsel est professeur ordinaire de sociologie des politiques sociales et des problèmes sociaux depuis 2004. Après une formation en sciences politiques à l’Université de Lausanne, il a enseigné, entre autres, les politiques sociales à l’Université de Fribourg ; il a collaboré avec différentes écoles de la santé et du social en Suisse romande. Parmi les approches sur lesquelles il s’est appuyé figure la recherche-intervention.
Ses recherches portent sur différents problèmes sociaux, en particulier la question des mauvais traitements envers les enfants, les questions de fin de carrière professionnelle, les groupes d’entraide. Il a développé aussi des travaux de recherche sur l’Economie sociale et solidaire. Ses travaux portent aussi sur les minorités sociales et politiques.
Page personnelle

Jean-Marie Le Goff

Anne Marcellini
Anne Marcellini est professeure associée en sociologie du sport au Centre de recherche sur les parcours de vie et les inégalités (LINES) de l’Université de Lausanne. Elle est responsable du Master en « Activités Physiques Adaptées et Santé » de l’Institut des Sciences du Sport. Elle a publié Corps, Sport, Handicaps. Le mouvement handisport au 21ème siècle. Lectures sociologiques (Téraèdre, 2014), et Disability, Recognition and "Community living". Diversity of practices and plurality of values (Revue Alter, European Journal of Disability Research, special issue, 2, 2018). Avant de venir à Lausanne, elle dirigeait le laboratoire « Santé, Education et Situations de Handicap" de l’Université de Montpellier.
Expertise Anne Marcellini a travaillé depuis les années 1990 sur les processus de participation sociale, d’inclusion sociale et de construction identitaire des personnes ayant des limitations de capacités. Elle est spécialiste des approches qualitatives des pratiques corporelles et des usages sociaux des corps atteints. Ses recherches s’orientent depuis 2008 dans le domaine de la sociologie visuelle et filmique.

Davide Morselli
Davide Morselli s'intéresse principalement à la dynamique psychosociale du changement social et aux effets du contexte sur les visions du monde et les attitudes individuelles. Il a étudié l'adaptation psychosociale aux événements critiques de la vie et a participé à la mise en œuvre de méthodes d'enquête rétrospectives pour recueillir les données biographiques.
Page personnelle

Daniel Oesch
Daniel Oesch est professeur associé au Life Course and Inequality Research Centre (LINES) de l'Université de Lausanne et membre du pôle de recherche LIVES. Ses enseignements portent sur la stratification sociale et le parcours de vie, la politique du marché du travail et l'emploi. Il est l'auteur de deux livres : Occupational Change in Europe (2013, Oxford University Press) et Redrawing the Class Map (2006, Palgrave Macmillan). Avant de venir à Lausanne en 2010, il a travaillé aux Universités de Genève, Pompeu Fabra, Barcelone, et Zurich. Il a participé à plusieurs grandes enquêtes sur le chômage en Suisse, étudiant les trajectoires d'emploi après un licenciement de masse ainsi que le rôle des contacts sociaux dans l'accès à l'emploi.
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Caroline Roberts
Caroline Roberts est professeure assistante en méthodologie d'enquête. Elle est actuellement co-responsable de LINES et responsable de la Maîtrise universitaire en méthodologie d’enquête et opinion publique, pour laquelle elle donne des cours sur les méthodes de recherche par sondage et la conception de questionnaires. Elle enseigne également les méthodes quantitatives pour les étudiants de premier cycle. Elle est titulaire d'un doctorat en psychologie sociale et d'une maîtrise en méthodes de recherche sociale de la London School of Economics and Political Science. Avant de travailler à l'UNIL, elle a travaillé à la LSE, à l'Office for National Statistics du Royaume-Uni, à la City University de Londres et à Stanford University, en tant que méthodologue d’enquête dans des équipes de coordination d'un certain nombre d'enquêtes sociales à grande échelle.
Intérêts de recherche Les principaux domaines d'expertise de Caroline Roberts sont la méthodologie d'enquête et la mesure des attitudes sociales. Ses intérêts de recherche portent sur l'optimisation des protocoles de collecte des données d'enquête et sur la mesure et la réduction des différents types d'erreurs d'enquête, avec un accent particulier sur les méthodes d'évaluation des erreurs de non-réponse et les antécédents des erreurs de réponse. Sa recherche actuelle porte sur la possibilité d'intégrer la collecte de données avec des applications smartphone dans le contexte des sondages en ligne auprès de la population générale, en se concentrant particulièrement sur les préoccupations du public concernant la protection des données et comment réduire la charge des répondants.

Dario Spini
Dario Spini est professeur ordinaire en psychologie sociale et directeur du Pôle de Recherche National LIVES. Ses intérêts principaux de recherche concernent la recherche interdisciplinaire des parcours de vie, les contextes sociaux et la santé, et les processus identitaires.


Leen Vandecasteele
Leen Vandecasteele est professeure associée au Centre de recherche sur les parcours de vie et les inégalités (LINES) à l’Université de Lausanne. Elle est également membre du Pôle de recherche national LIVES sur la vulnérabilité dans les parcours de vie. Titulaire d’un doctorat de l’Université de Leuven, elle a continué sa carrière en tant que chercheuse postdoctorale à l’Université de Manchester. Elle a pris part au programme multidisciplinaire des inégalités et des politiques sociales à l’Université de Harvard. Elle a été Max Weber Fellow à l’Institut universitaire européen à Florence. Entre 2012 et 2017, Leen Vandecasteele a travaillé en tant que professeure assistante à l’Université de Tübingen en Allemagne.
Intérêts de recherche Les domaines d’expertise principaux de Leen Vandecasteele sont les inégalités sociales, la pauvreté et les politiques sociales, des phénomènes qu’elle analyse dans une perspective de parcours de vie. Elle s’intéresse particulièrement à l’analyse des désavantages cumulés lors des transitions de vie ainsi qu’aux ressources qui permettent aux individus de faire face à des périodes de vulnérabilité économique, telles que la famille, le réseau social et les politiques sociales. Ses recherches se portent sur les différences entre pays et entre unités géographiques locales comme les voisinages, ainsi que les évolutions sur le long terme. Elle analyse les données quantitatives de grands échantillons d’individus issus de différents pays. Leen Vandecasteele est actuellement responsable d’une étude financée par le FNS sur le rôle que joue le statut socio-économique du/de la partenaire dans la carrière d’un individu. Cette étude vise également à observer les effets des caractéristiques spécifiques du marché du travail et de la politique familiale sur cette relation. Elle est aussi impliquée dans le pôle de recherche national LIVES et étude comment les contextes macro (politiques sociales) et méso (voisinages, réseaux personnels etc.) influencent les trajectoires de vulnérabilité économique.

Lena Ajdacic
Lena Ajdacic est titulaire d'un master de recherche en sciences sociales de l'Université d'Amsterdam, avec une spécialisation en économie politique et méthodes de recherche quantitative. Pendant ses études à Amsterdam, elle a été intégrée dans le groupe de recherche CORPNET. Actuellement, elle fait son doctorat dans le cadre du projet FNS "The Rise of the Financial Elite - Access, Integration and Spread of Power", dirigé par Felix Bühlmann à l'Université de Lausanne.
Intérêts de recherche Lena s'intéresse principalement aux inégalités économiques, au pouvoir des entreprises et à l'analyse des réseaux. Au cours de son mémoire elle s'est concentrée sur "l'industrie de la défense de la richesse" entourant la minimisation de l'impôt à l'échelle internationale. Dans son projet de doctorat elle étudie les réseaux et les modalités d'influence de l'élite financière globale. Elle applique des méthodes quantitatives sur des données économiques, qui couvrent les entreprises et les cadres supérieurs du monde entier.

Marc Asensio Manjon
Marc Asensio est assistant diplômé en Sciences Sociales à l'Université de Lausanne depuis novembre 2019 et doctorant dans le cadre du programme de collaboration FORS-SSP. Marc est titulaire d’une licence en sciences politiques (Universitat Pompeu Fabra) et d’une maîtrise en méthodes d’enquête pour la recherche sociale (University of Essex). Précédemment, il a travaillé comme chercheur au Research and Expertise Centre for Suvrey Methodology (RECSM) où il a été principalement impliqué dans des projets liés à l'Enquête Sociale Européenne.
Ses principaux intérêts de recherche sont la qualité des données d'enquête, les enquêtes web, la conception et l'amélioration de questionnaires et les nouvelles méthodes de collecte de données.

Fei Bian
Fei Bian a rejoint LINES en octobre 2019 en tant de doctorante FNS. Avant de rejoindre l’Institut des Sciences Sociales de l’Université de Lausanne, Fei Bian a participé au programme de l’European Doctoral School of Demography au Danemark. Elle est titulaire d’un master en Sciences Sociales, spécialité Démographie et données sociales, de l’Université de Picardie Jules Verne en France.
Ses intérêts de recherche portent sur la famille, le genre et les inégalités sociales. Elle rédige une thèse dans le cadre du projet FNS de “Coupled Inequalities. Tendances et différences entre les pays dans le rôle des ressources socio-économiques du partenaire pour les carrières professionnelles (COINEQ)”.

Jérôme Blondé
Jérôme Blondé a obtenu un doctorat de psychologie sociale à l'Université d'Aix-Marseille en 2015. Il a ensuite travaillé dans le département de psychologie de l'Université du Sussex pendant 6 mois en tant que post-doctorant. A l'automne 2017, il intègre l'Université de Genève où il travaille dans le département de psychologie sociale et de psychologie appliquée. Il est actuellement toujours post-doctorant à l'Université de Genève et dans le même temps a rejoint LINES en tant que chercheur FNS senior depuis septembre 2019.
Ses intérêts de recherche principaux concernent la persuasion et l'influence sociale, la communication dans le champ de la santé, les processus identitaires dans les comportements de santé et les inégalités de santé, les actions collectives et les processus de justice, et la discrimination envers les minorités sexuelles.
Aurélie Chopard-dit-Jean
Aurélie Chopard-dit-Jean est titulaire d’un Master en psychologie et d’un Master en sociologie de l’Université Bourgogne Franche-Comté. Ses intérêts de recherche portent sur les expériences de pertes vécues par les personnes âgées à la fin de leur vie et sur la théorie de l’attachement au grand âge, dans une perspective de parcours de vie.
Son Doctorat se déroule à l’Université de Lausanne en cotutelle avec l’Université Bourgogne Franche-Comté. Elle participe au programme doctoral LIVES. Sa recherche cherche à comprendre l’expérience de l’approche de la mort vécue par les individus accueillis en établissement d’hébergement.

Chiara Comolli
Chiara Comolli rejoint LINES en février 2019 en tant que chercheure FNS senior pour travailler sur le projet WELLWAYS. Diplômée de l'Université Bocconi en sciences économiques et sociales (MSc) en 2009, elle obtient en 2016 son doctorat de l'Institut Universitaire Européen en Sociologie et Sciences Politiques avec une thèse sur les effets de la grande récession sur la fécondité dans les économies avancées, intitulée «La fécondité en période de crise économique».
Au sein de WELLWAYS, elle étudie en Suisse et en France comment des événements critiques de la vie et des trajectoires dans le domaine familial et professionnel influent simultanément sur les trajectoires de santé et de bien-être. Ses autres domaines de recherche portent sur les effets de l’incertitude économique et de l’emploi sur la dynamique familiale, en particulier en ce qui concerne les décisions relatives à la maternité et les mécanismes de transmission de l’insécurité touchant les domaines du travail et des finances à la dimension familiale.
Page personnelle

Ibrahima Dina Diatta
Doctorant au Centre de recherche sur les parcours de vie et les inégalités à Lausanne, les recherches d'Ibrahima Dina Diatta sont axées sur les données manquantes, les données longitudinales. Il est particulièrement intéressé par l’application de la méthode d’imputation multiple dans un contexte longitudinal. Il travaille également en tant qu'assistant pour deux cours : méthodes quantitatives et consommation de substances : analyses des trajectoires. Ibrahima Dina Diatta est titulaire d'un master en statistique de l'Université de Neuchâtel et a une expérience pratique dans les études cliniques et l'analyse statistique appliquée à la recherche liée à la santé.
Page personnelle

Alessandro di Nallo
Alessandro di Nallo est un démographe social qui s'intéresse aux transitions au cours de la vie, à la fertilité et à l'économie familiale. Il est actuellement chercheur pour le projet CRITEVENTS financé par NORFACE, qui étudie les conséquences de la perte d'emploi et du divorce sur divers résultats. Les recherches d'Alessandro portent également sur les schémas non réglementaires du parcours de vie des individus, tels que la famille recomposée et la “mutiple-partner fertility” aux États-Unis et en Europe. Il a également étudié l'influence de la classe sociale des parents sur le passage à l'âge adulte dans différents contextes. Avant de rejoindre l'UNIL en février 2018, Alessandro di Nallo était doctorant en sociodémographie à l'université Pompeu Fabra de Barelona. Il a obtenu son doctorat en février 2019. Il est titulaire d'une maîtrise en sciences économiques et sociales de l'Université Bocconi de Milan et d'une maîtrise en démographie de l'Université Autonoma de Barcelone.

Annahita Ehsan
La recherche d’Annahita Ehsan est axée sur les relations sociales et la promotion de la santé. Elle collabore actuellement avec une communauté locale dans le cadre d'une intervention d'action-recherche communautaire afin de comprendre les mécanismes psycho-sociaux dans le développement du capital social et comment ceux-ci influencent le bien-être des personnes âgées.

Léïla Eisner
Léïla Eisner est doctorante en psychologie sociale à l’Université de Lausanne. Après avoir obtenu un Bachelor en sciences politiques, Léïla a complété un master en Méthodologie d’enquête et opinion publique desservit conjointement par les universités de Lucerne, Neuchâtel et Lausanne. Dans ses recherches, menées principalement dans le milieu LGBTIQ+, Léïla Eisner étudie les relations intergroupes et la discrimination. Elle s’intéresse particulièrement aux normes sociales et à leur impact sur le processus de changement social.

Fabien Foureault
Fabien Foureault est sociologue et travaille sur le projet « The rise of the financial elite » (requérant : Felix Bühlmann) en tant que chercheur FNS senior. Après des études à Sciences Po Paris, il a soutenu une thèse de sociologie dans cet établissement en 2014, qui portait sur la financiarisation des firmes françaises à partir du cas d’opérations de rachat d’entreprises par endettement (LBO).
Ses intérêts de recherche se situent au croisement de la sociologie économique, de la sociologie des organisations et de la sociologie des élites. Fabien Foureault mobilise à la fois des méthodes qualitatives et quantitatives pour étudier la structure, la dynamique et les modes de régulation de champs d’action.

Lucile Franz
La recherche de Lucile Franz porte sur les politiques sociales vaudoises en particulier sur les politiques de lutte contre la grande pauvreté. Elle réalise une recherche dans des centres d'accueil à bas-seuil dans le but de comprendre les différents types de prise en charge des populations les plus vulnérables, qui tendent à osciller entre accompagnement social et mesures sécuritaires.

Dinah Gross
Dinah Gross, sociologue, est chercheuse FNS à l'Institut des sciences sociales de l'université de Lausanne et au Service de la recherche en éducation (SRED, Genève). Après des études de philosophie et un diplôme postgrade en sciences sociales à l’université de Genève, elle a été membre de LINES en tant qu’assistante diplômée durant cinq ans. Elle a ensuite été chargée de recherche à la Haute école de travail social et de la santé (EESP) de Lausanne et chercheuse FNS au Centre interfacultaire de gérontologie et d’étude des vulnérabilités de l’université de Genève.
Sa recherche porte sur les effets du genre et de l’origine sociale sur les représentations, les aspirations et les trajectoires professionnelles dans une perspective de parcours de vie. Sa recherche actuelle, dans le cadre du projet "Les parcours de formation professionnelle au prisme du genre et de l’orientation sexuelle", porte sur les discriminations liées au genre dans la formation professionnelle.

Dimitrios Lampropoulos
Psychologue social de la santé, qui dans le cadre de ses travaux de thèse au sein de l'Université d'Aix-Marseille a travaillé sur l'exclusion et la participation sociales des personnes atteintes de troubles psychiques.
Actuellement il travaille sur le rôle des inégalités sociales en santé mentale, dans une perspective de parcours de vie.

Annika Lindholm
Annika Lindholm a obtenu un master en sciences sociales de l’Université de Genève. Elle fait actuellement une thèse dans le domaine de la sociologie électorale. Son projet de thèse porte sur l’effet du bien-être sur le comportement et les attitudes politiques. De plus, elle collabore avec FORS dans divers projets comparés, notamment le Comparative Candidate Survey (CCS) et MEDem.
Ses intérêts de recherche principaux sont : la participation politique, les attitudes et préférences politiques, les déterminants psychologiques du vote radical, le bien-être et l’étude comparée du comportement politique.

Jad Moawad
Depuis septembre 2018, Jad Moawad est assistant diplômé en Sciences Sociales à l'Université de Lausanne. Avant de rejoindre le département de Sciences Sociales de l'UNIL, il a étudié à l'université Pompeu Fabra de Barcelone où il a obtenu un master en philosophie politique, axé sur les théories politiques et sociales, et un autre master en sociologie et démographie, centré sur les méthodes de recherche quantitative.
Ses intérêts de recherche portent sur les méthodes de recherche quantitatives, la stratification sociale, la Grande Récession, les transmissions inter- et intragénérationnelles et la recherche comparative sur le marché du travail. Alors que les recherches récentes analysent principalement les répercussions de la crise financière de 2007/2008, les sociologues ont souvent négligé d'importantes questions relatives aux rôles des institutions qui régissent les problématiques de pauvreté et d’inégalités générées par la Grande Récession. Ses recherches visent à combler cette lacune.

Sandrine Morel
Après un baccalauréat universitaire en sciences sociales et mineure en psychologie et sciences humaines de l’université de Lausanne, Sandrine Morel a poursuivi avec une maîtrise en sciences sociales orientation parcours de vie. Son mémoire portait sur la garde alternée en Suisse du point de vue des pères. Elle a ensuite travaillé comme collaboratrice de recherche sur le projet FNS « Gendered Globalisation of Legal Professions ». Pour sa thèse de doctorat, Sandrine Morel s'intéresse aux trajectoires familiales et professionnelles des parents (d’enfants mineurs) qui se séparent, et s’interroge sur les normes sociales entourant cette transition. Elle essaie d’adopter une approche mixte en alliant des méthodes quantitatives et des méthodes qualitatives.

Maud Reveilhac
Après un bachelor en sciences politiques à l'Université de Lausanne, Maud Reveilhac a obtenu son master en méthodologie d'enquête et opinion publique des universités de Lausanne, Lucerne et Neuchâtel en février 2018. Lors de son mémoire, Maud Reveilhac a choisi une orientation en psychologie sociale. Elle a mis l'accent sur le comportement politique, avec un intérêt particulier pour la démocratie directe et les institutions politiques dans le cadre de la politique suisse. Elle travaille à la fondation FORS en tant que collaboratrice scientifique depuis avril 2018. Ses travaux portent essentiellement sur la préparation et la gestion d'enquêtes, ainsi que sur la préparation et l'analyse de données pour la partie suisse d’enquêtes internationales (notamment l'ESS) et pour des enquêtes Web à grande échelle comme SELECTS, ainsi que d’autres projets. En avril 2019, elle commence à travailler en tant qu'assistante diplômée à l'Institut des sciences sociales. Elle s'intéresse particulièrement au développement et aux défis des nouvelles technologies pour la conduite d'enquêtes d’opinion et à la complémentarité des données des réseaux sociaux avec les données d'enquêtes traditionnelles. Elle rédige actuellement sa thèse de doctorat sur la relation entre populisme et démocratie directe.

Núria Sánchez Mira
Núria Sánchez-Mira est première assistante à l'Institut des Sciences Sociales de l'Université de Lausanne. Elle a été précédemment chercheuse postdoctorale au Centre d’Estudis Sociològics sobre la Vida Quotidiana i el Treball (QUIT), à l’Universitat Autònoma de Barcelona. Elle a été chercheuse invitée au European Work and Employment Research Centre, University of Manchester, et au Soziologisches Forschungsinstitut Göttingen, Georg-August-Universität. Elle a reçu le prix Ángel Rozas à la Recherche en Sciences Sociales de la Fondation Cipriano García pour sa thèse de doctorat sur l'impact de la Grande Récession sur les aménagements travail-famille en Europe.
Ses recherches portent notamment sur le travail et l’emploi dans une perspective de genre, la diversité familiale et les relations familiales. Elle applique une perspective de parcours de vie dans ses recherches et s'intéresse au développement de nouvelles approches méthodologiques.
Nathalie Vigna
Nathalie Vigna est titulaire d'un master en Sciences Internationales obtenu auprès de l'Université de Turin, ainsi que d’un master en Science Politique et Sociologie Comparatives obtenu auprès de l’Institut d’Études Politiques de Bordeaux, suite à un parcours bi-national. Elle a ensuite collaboré au projet de recherche ValOrienta de l’Université de Turin, axé sur les inégalités face aux opportunités éducatives et sur l’orientation scolaire.
Actuellement, elle commence un doctorat dans le cadre du programme scientifique commun FORS-SSP, sur le thème de l’évolution des inégalités sociales et du statut social subjectif, à travers une comparaison dans l’espace international. Ses intérêts de recherches portent sur les inégalités sociales, les parcours de vie, la sociologie de l’éducation.


Jessica Herzing
Jessica a rejoint LINES en tant que post-doc en février 2019 pour travailler avec FORS. Elle est diplômée de l'Université de Mannheim, en Allemagne, où elle a obtenu une maîtrise en sociologie après avoir étudié un an à l'Université de l'Indiana, Bloomington, aux États-Unis. Entre 2013 et 2015, elle a travaillé pour GESIS dans le cadre du projet CAMCES où elle a été impliquée dans le développement d'outils innovants pour mesurer l'éducation au niveau transnational. De 2014 à 2018, elle a été doctorante à l'Université de Mannheim, où elle a travaillé au Collaborative Research Center "Political Economy of Reforms" dans l'équipe du German Internet Panel (GIP).
La thèse de doctorat de Jessica Herzing porte sur la méthodologie d'enquête et sur l'impact des changements technologiques sur la non-réponse à l'enquête et sur la mesure. Ses recherches portent sur la non-réponse des unités dans les enquêtes en ligne probabilistes et sur la qualité des mesures en ce qui concerne la conception des questionnaires et les effets des modes. Les projets en cours comprennent des études sur l'impact du changement technologique sur la recherche par sondage, les plans d'enquête adaptés, la non-réponse et l'erreur de mesure dans les sondages en ligne et les sondages à application rapide, et la conception modulaire des questionnaires. Elle est également corédactrice en chef des guides FORS.

Steven Piguet
Steven Piguet a étudié les Sciences politiques et l’Histoire à l’UniL (MA 2009). Depuis 2007, il collabore aux projets FNS sur les « Élites suisses au XXe s. ». Il est également associé à l’Observatoire des Elites Suisses (Obelis) fondé en 2015 et à la plateforme technique du LaDHUL (PlaTec) depuis 2019.
Actuellement, il contribue à la gestion des données pour les projets FNS « Élites Financières », « les Fellows Rockefeller », « Structures de pouvoir locales et connections transnationales ». Il est également assistant de recherche à l’UniGe dans un projet ERC sur les « Citizen Sciences ».

Mina Rauschenbach
Mina Rauschenbach est chargée de cours à l’Institut des Sciences Sociales de l’Université de Lausanne et est une chercheuse associée au sein de l’Institut de Criminologie de l’Université de Leuven (LINC) en Belgique. Ses champs d’intérêts empiriques prinicipaux concernent le rôle des croyances victimaires, ainsi que d’autres besoins identitaires, dans les processus collectifs de mémoire dans des contextes de justice transitionnelle et de violations des droits humains. Elle s’interesse plus particulièrement à la manière dont ces processus collectifs et les relations de pouvoir qui y sont rattachées, façonnent les perceptions et les besoins de différents acteurs de justice (victimes, auteurs, diasporas) dans des contextes post-conflit. Ses publications récentes incluent : Accused for involvement in collective violence: The discursive reconstruction of agency and identity by perpetrators of international crimes, publié dans Political Psychology (2015), The perfect data-marriage: Transitional Justice Research and Oral History Life Stories, publié dans the Transitional Justice Review (2016) ou Individuals accused of international crimes as delegitimized agents of truth, publié dans The International Criminal Justice Review (2018).
Giannina Vaccaro
Giannina Vaccaro (docteur en économie) est une micro-économiste appliquée avec plus de 10 ans d'expérience, travaillant en Suisse, en Angleterre, aux États-Unis et au Pérou.
Giannina a une vaste expérience de l'évaluation des politiques et de l'analyse économétrique. Elle utilise des modèles économiques et un large éventail d'approches méthodologiques pour répondre à des questions économiques, notamment en ce qui concerne l'économie du travail et l'égalité des sexes. En identifiant et en analysant de grands ensembles de données administratives et granulaires au niveau individuel, Giannina a fourni des indications pour améliorer le bien-être social et la productivité des entreprises.
Les intérêts de recherche de Giannina s'étendent également aux questions liées à la retraite, à la santé, à l'économie urbaine, ainsi qu'à l'économie du développement