Master en sciences actuarielles

Grade décerné

Maîtrise universitaire ès Sciences en sciences actuarielles
Master of Science (MSc) in Actuarial Science

Mot de bienvenue

Professeur Séverine Arnold, Directrice du Master en Sciences Actuarielles (MScAS)

Ce cursus propose d'amener les étudiant·es à une compréhension approfondie des principes et techniques actuarielles nécessaires à la gestion de compagnies d'assurance ainsi que d'institutions financières telles que caisses de pension ou systèmes de sécurité sociale. Si les mathématiques appliquées sont le principal instrument de travail de l'actuaire, de bonnes connaissances en management, en économie, en finance, en informatique et en analyse de données (machine learning) sont également nécessaires pour compléter son portefolio de compétences.

Type d’enseignements

Ce cursus contient des enseignements spécialisés tels que la théorie du risque, les processus stochastiques, les mathématiques des intérêts composés, la crédibilité, les mathématiques de la finance et la modélisation actuarielle pour l'assurance. La plupart des enseignements dans ce cursus utilisent la gestion quantitative des risques, qui est l'outil de travail le plus important des actuaires. Les enseignements sont dispensés en anglais par des professeur·es universitaires hautement qualifié·es.

Reconnaissance

Ce Master est reconnu par l'Association Suisse des Actuaires (ASA), ainsi que par les associations européennes d’actuariat. De plus, certains enseignements préparent aux premiers examens d'actuaire de la Society of Actuaries (SOA) des États-Unis d’Amérique.

Pourquoi choisir ce Master?

• Excellentes perspectives de carrière dans les compagnies d'assurance, caisses de pension, firmes de consultants, banques, entreprises multinationales, gouvernements et en tant qu'indépendant ;
• Compensations financières importantes en tant qu’actuaire : salaires élevés dans la plupart des pays du monde ;
• On compte quelques 50'000 actuaires travaillant dans le monde entier alors que la Banque Mondiale estime qu'il en faudrait 25'000 supplémentaires, incidemment, il n’y a pas de chômage dans ce secteur ;
• Forte densité d'assurances en Suisse ;
• Qualifications reconnues internationalement
• Faibles coûts d'inscription