Publié le 11.09.24
L’étude de l’ADN ancien des habitants de Rapa Nui réfute la théorie du suicide écologique
Rapa Nui (île de Pâques), avec ses statues gigantesques et son paysage sans arbres, fascine les chercheurs depuis des siècles. Une nouvelle étude génétique publiée dans la revue «Nature» de cette semaine infirme la théorie populaire selon laquelle la population rapanui s'est effondrée à la suite d'un «écocide» - un suicide environnemental causé par l'homme - et montre que les Rapanuis se sont mélangés avec les Amérindiens des siècles avant l'arrivée des Européens sur l'île.