@CFF
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Dans un monde globalisé où la recherche est de plus en plus internationale, se déplacer moins ne doit évidemment pas signifier échanger moins. Il s’agit d’exploiter aux mieux les technologies de télécommunication, optimiser ses choix modaux et rentabiliser chaque déplacement.
L’impératif de réduire l’impact des déplacements professionnels implique naturellement de privilégier les modes de transport les moins polluants, mais également de réduire la masse totale des déplacements de la communauté universitaire. À l’échelle de l’institution, privilégier une mobilité durable ne doit donc pas coûter plus cher.
Ces deux principes sous-tendent toute la politique de l’UNIL en matière de déplacements professionnels.