Fonctionnement institutionnel

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Le Dicastère Transition écologique et Campus, grâce à la collaboration du service des bâtiments et travaux (Unibat), promue et gère la mise en place de nombreuses initiatives pour la durabilité dans les 35 bâtiments de l’université disposés sur 90 hectares et abritant une communauté de plus de 20’000 personnes.

Ici, les connaissances sur la transition écologique sont testées dans la pratique, monitorées, amendées et ensuite proposées à l’ensemble de la société.

Donut Page.pngUne étude approfondie de l’impact des activités liées au fonctionnement de l’université a été menée en 2023 par le Centre de compétences en durabilité. C'est le rapport sur le Donut de l'UNIL. Cette étude dessine l’état des lieux des impacts du fonctionnement institutionnel de l’UNIL à l’état actuel (les données complètes les plus récentes font référence au 2019) et permet d’avoir une vision détaillée des secteurs les plus impactantes sur l’environnement, et donc d’intervenir en priorité sur les enjeux les plus pressants.

En 2019, l’UNIL a émis l’équivalent de 42’000 tonnes de CO2, ce qui correspond à environ 2 tonnes de CO2/éq par membre de la communauté UNIL. Cela correspond à un dépassement de 20 fois de la valeur-cible fixée pour 2050. L’analyse de l’empreinte sur la biodiversité de l’UNIL suscite des préoccupations aussi : elle dépasse de 30 fois le plafond écologique. Cette limite planétaire est la plus critique pour l’UNIL. Plus réduites sont les émissions d’azote dans les milieux naturels : en 2019, l’UNIL n’excédait que de 2 fois le seuil écologique. En termes de consommation d’eau, par contre, l’UNIL se montre vertueuse et ne dépasse pas les limites planétaires.

En termes des postes d’impact, quatre secteurs sont responsables de la quasi-totalité des impacts de l’UNIL sur l’environnement :

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