Pour toute question qui ne trouverait pas sa réponse sur cette page, merci d'écrire à Johanna.Codourey@unil.ch.
Au côté des 30 ECTS de la discipline principale (anglais, cinéma, français...), le RENF en études théâtrales représente le second bloc « disciplinaire » de 30 ECTS de la première année de Master. Les enseignements du RENF peuvent donc être suivis dès la première année.
Néanmoins, pour des raisons adminsitratives, les étudiant·e·s ayant choisi un RENF lors de leur inscription en première année doivent dès que possible, au tout début de leur Master, s'inscrire au SPEC en études théâtrales, car cette inscription au SPEC est une condition pour suivre les enseignements du RENF.
Si l'inscription au SPEC est faite, alors on peut commencer immédiatement le RENF et suivre les enseignements du SPEC et du RENF en parallèle.
À savoir : la participation au stage d'immersion (module 7, RENF) est conçue pour les étudiant·e·s ayant déjà validé une partie du parcours (et s'effectue donc de préférence au deuxième ou au troisième semestre).
Non, car le RENF « renforce » le SPEC.
Si vous êtes inscrit·e en Master ès Lettres à l’UNIL, vous pouvez attendre la rentrée pour préciser vos intentions.
Les deux programmes peuvent être suivis simultanément, ce n’est qu’en termes administratifs qu’ils fonctionnent différemment.
Le SPEC-ET s’ajoute au Master ès Lettres à 90 ECTS qui devient alors un Master ès Lettres avec spécialisation à 120 ECTS.
Le RENF-ET remplace 30 ECTS du Master ès Lettres à 120 ECTS (et n'est accessible qu'aux étudiant·e·s inscrit·e·s dans un Master à 120 ECTS).
Le cours général du SPEC (module 1) n’est donné qu’au semestre d’automne, et cela chaque année (en l’occurrence dans l’une des universités du réseau : UNIFR, UNIGE ou UNIL). Il en est de même pour le cours d’Histoire comparée du théâtre du RENF (module 6).
Parfois, une alternative est offerte au semestre de printemps pour le cours général du SPEC (module 1), mais ce n’est pas garanti.
N’oubliez pas que vous pouvez commencer le SPEC dès la première année du Master.
Cela peut être conseillé, mais ce n’est pas du tout une obligation.
Oui : les enseignant·e·s choisissent volontairement d’ouvrir certains séminaires aux étudiant·e·s en études théâtrales.
La seule réserve concerne la langue d'enseignement, qui doit être maîtrisée par l'étudiant·e. Mais nous ne demandons pas de certificat de maîtrise : c’est aux étudiant·e·s d’apprécier leur aisance dans ladite langue d’enseignement.
Chaque année, au moins, un séminaire d’Analyse de spectacle sera offert sur un corpus différent. Il n’y a donc aucun risque de « redondance ». Vous pourrez inscrire un de ces séminaires dans le module 2 (SPEC) et un autre dans le module 4 (RENF).
Oui. Les stages sont pour le moment organisés avec des institutions, mais un contrat de stage avec un festival peut être établi.
Non, il n'y a pas d'obligation. Mais c'est encouragé.
Le mémoire est officiellement inscrit dans la discipline principale (anglais, cinéma, français...). À ce titre, il peut très bien ne pas concerner le théâtre.
Mais il est aussi possible et même encouragé de rédiger un mémoire pluridisciplinaire portant entièrement ou en partie sur le théâtre, par exemple sous la direction d'un enseignant·e de votre discipline principale qui est également membre du Centre d'études théâtrales (voir la liste des membres du CET).
Pas du tout.
Non seulement votre parcours vous aura offert des expériences et des contacts extrêmement précieux à tous égards, mais de surcroît les arts de la scène sont emblématiques de la scène culturelle : ils permettent de prendre connaissance d’œuvres (souvent interdisciplinaires), de métiers très divers (des auteur·rice·s jusqu’aux scénographes, en passant par les attaché·e·s de presse et les médiateur·rice·s), d’institutions aux profils distincts et de politiques culturelles différentes (les villes, le canton, la confédération).
À l'UNIL, les thèses de doctorat en études théâtrales consistent actuellement dans des recherches sur la dramaturgie contemporaine (la relation avec le spectateur comme axe de création), dans des monographies de metteurs en scène contemporains ou du XXe siècle (Christoph Marthaler, Jacques Lassalle), dans des recherches théoriques (l’acte de lecture du texte dramatique, les récits de spectateur·ice·s), ou dans des recherches sur l’histoire du théâtre (la définition de la comédie au XVIIe siècle, les effets de foule sur la scène du XVIIe siècle, le théâtre de société au XVIIIe siècle)…