Questions personnelles
Petit, vous vouliez être…?
J’ai toujours voulu être médecin, mais aussi pompier, vétérinaire, champion de tennis… Plus tard, j’ai vraiment hésité entre médecine et journalisme.
Votre livre de chevet?
Actuellement, Rouge Brésil de Jean-Christophe Rufin. On sait qu’il a été un personnage clé dans l’humanitaire, mais moins qu’il est aussi neurologue…
Le film qui vous accompagne?
J’en citerai plusieurs : Barry Lyndon de Kubrick, Apocalypse Now de Coppola (peut-être parce que j’ai vécu au Vietnam pendant la guerre), Le baiser de l’araignée d’Hector Babenco.
Un ou une artiste qui vous inspire?
Nicolas Bouvier. Parce qu’il est genevois, mais surtout pour sa manière de raconter l’errance, le voyage.
La ville de vos rêves?
De mes rêves, je ne sais pas, mais New York est la ville qui m’a fait le plus d’effet.
Un lieu, un jardin secret où vous aimez vous ressourcer?
Un alpage en été.
La fleur que vous aimez?
Le coquelicot.
Un animal-totem?
Je n’en ai pas.
Quel don souhaiteriez-vous posséder?
Celui de l’écriture.
Et si vous aviez un superpouvoir?
Ne pas avoir besoin de dormir. Pour pouvoir vivre deux vies : pouvoir enfin voir plus de spectacles, écrire, lire !
Vos héros/héroïnes dans l’Histoire?
De Gaulle. Pour sa capacité de résistance.
Et si vous étiez un personnage de fiction?
Corto Maltese. Pour le voyage, la liberté.
Technophile, technophobe?
Technophobe.
Vos 3 priorités aujourd’hui?
Evidemment bien faire mon travail de chef de service; tenter de garder ma créativité grâce à mon laboratoire ; et accessoirement essayer d’avoir une vie équilibrée, autrement dit passer un peu de temps avec mes proches.
Votre devise?
Je n’en ai pas vraiment.
Comment aimeriez-vous mourir?
Brutalement, c’est-à-dire sans avoir le temps de voir la grande faucheuse se profiler à l’horizon...